Bienvenue pour suivre safari à Paris – part II
montez à bord pour mes game-drives à paris!
comme déjà indiqué toutes les images sont faites avec l’iphone 12,
pendant la pandémie on voyage léger!
…..l’Afrique et la savane sont loin, les aéroports fermés et nous sommes confinés dans un rayon de 10 km:
C’est du niveau “National Géographic” !
Découverte de LA panthère blanche “bling-bling”
en plein Saint Germain des Prés.
Cette race ne se trouve normalement que dans des biotopes rempli de fric !
Même un célèbre guide naturaliste m’a confirmé
que l’on se trouve ici face à une image (œuvre)
qui se monnaie facilement 1 million d’euros.
Impossible rencontre en plein Paris 15ème:
un beau “cerf élaphe”.
Malheureusement il a été écrasé contre un mur par une compagnie de CRS lors d’un contrôle Covid.
Comme je suis aussi guide naturaliste, une exfiltration vers la forêt de Rambouillet est envisagée.
Seul Bémol: comment mettre le cerf dans ma petite Benz ?
Des centaines de macaques échappés de Thaïlande ont envahi la station Etoile.
C’était un spectacle hallucinant.
Grâce à mon iPhone 12 j’ai pu prendre des photos historiques !
Bon, la Thaïlande est rayée de ma “liste to go”.
Au nord-ouest du Masai-Mara,
exactement Rue d’Hautefeuille dans le 6ème.
Je sors d’une vente aux enchères de livres
“psychologie – psychiatrie – psychanalyste”.
Me voilà face à un troupeau de zèbres.
Ils ont eu peur du léopard croisé deux rues plus loin !
Je les ai rassurés puis on a pris un verre ensemble.
Malgré les fortes chutes de neige on aperçoit déjà les premiers lapins de Pâques!
Bien sûr, cela est réservé aux plus attentifs d’entre nous.
Dans les sous-bois du Palais Royal on s’active déjà à fabriquer les œufs.
Photo prise sur la “planche”de ma Smart, transformée pour les plus exigeants safarists.
Une petite pensée à mon safarist aguerri: Jean-Pierre !
Venu spécialement de la Drôme provençale pour shooter le canard cow-boy.
Une sous espèce du Canardus americanus, connu comme “coin-coin-bang-bang”.
L’alerte Covid et le confinement ont été plus forts que son Z6.
Il termine sa semaine à l’hôtel à l’isolement en train
de faire de la macro de punaises de lit parisiennes.
Hâte de voir le résultat.
safari à paris
Brume sur le lac inférieur du Bois de Boulogne….
À travers mon iPhone 12bio et son zoom x 10; f/4
j’aperçois un flamant rose venu de Camargue.
C’est irréel cette ambiance matinale,
il ne manque plus que les chevaux camarguais.
Le climat doux a fait venir la faune Méditerranéenne à Paris.
Mon cœur est rempli d’émotions.
Paris c’est l’endroit rêvé pour un safari féerique.
La pleine lune a fait sortir la panthère noire – il s’agit ici de la sous espèce “Crânium lūminarïa”.
Près du canyon de Sèvres au petit matin, elle se présente devant moi. Un moment magique !
Mieux qu’avec un 400mm j’ai figé cette image digne d’un “World Press” avec un simple iPhone !
Extrêmement rare, cette espèce n’est visible que 12 jours par an …(pleine lune oblige).
J’espère que cette première découverte en 2021 vous a plu,
sauf si vous êtes d’avantage intéressé par l’envol d’un maigre Rollier…..
C’est la saison des naissances dans la steppe de Babylone (Paris 7ème).
Bref un “Lionceau orientalis” a vu le jour.
Après 3 journées de planque j’ai enfin réussi à prendre une image de ce lionceau,
un mélange Perse-Kenyan.
Pour vous apporter un éclairage d’éthnozoologie: ce lionceau de l’époque Néolithique
devait être nourri uniquement avec un biberon au thé à la menthe.
Inch Allah-lion.
Jardin des Batignolles: Encore une girafe enfermée.
Avec l’aide de mon ami Massaï… nous l’avons arraché aux bras des braconniers
(au risque de notre vie).
Allez, je vous la fais à la sauce Toni/Melting-pot :
“en photographie animalière c’est le sujet qui décide…
et sûrement pas le photographe !
Et parfois, un jour, rarement, tout s’harmonise… à la perfection !
Des nuages, surgit de nulle-part, viennent ponctuer le travail, l’effort,
l’attente, la rage, le désespoir, l’espoir…
pour une image qui va plus loin encore que celle initialement imaginée …”
Malheureusement nous n’avons pas eu de barque pour l’exfiltrer.
Dommage, il paraît que ça se vend très bien les photos de girafe sur une barque.
Un guerrier Massaï en pleine Place de Clichy.
Il est entrain de chercher son bétail.
Pour ramasser la bouse de vache pour fabriquer sa petite maison.
Je l’ai mis en garde car les troupes de CRS rôdent dans le quartier pour expulser les migrants.
Du coup, il m’a aussitôt proposé de partager son repas:
un peu de lait du sang et des haricots. Miam !
Alerte Rue Biot Paris 17ème.
Un zèbre militant vient de lancer deux énormes pétards.
Il exprime son ras le bol, car plus personne ne veut le prendre en photo.
Le zèbre m’explique qu’uniquement le ridicule serval et les bébés léopards sont pris en photo.
Du coup il se demande s’il ne devrait pas lancer son mouvement “gilets-rayés”.
Consultée, la girafe m’indique qu’elle rejoint le mouvement mais en “gilet-tacheté” !
Le premier défilé est déjà organisé samedi dans la savane du centre de Paris…
Froid polaire sur Paris. Après mon troisième verre de vin chaud,
je découvre un “Canis lupus bicéphale”.
Il est sorti de son terrier.
Sûrement pour chasser la nuit le renard qui habite dans le campement du Petit prince non loin d’ici.
Vulgairement nommé Teckel ce phénomène bicéphale doit être le premier mis sur une pellicule.
Sûr de ma découverte extraordinaire et en attendant la remise du Pulitzer,
je commande aussitôt un autre vin chaud.
Le principal problème pour parler à un bicéphale:
À qui s’adresser ?
Breaking News !
La manifestation de samedi des gilets-rayés et des gilets-tachetés sera rejointe par une horde de moutons.
Ce mouton rare (d’Islande) a été spoté hier au campement du Bon Marché en train faire des emplettes.
Le mouton m’explique qu’une grande manifestation sans moutons est impossible en France.
Je ne pouvais que lui donner raison…
Il avait encore l’étiquette sur le nez, preuve que les moutons n’ont pas inventé l’eau chaude
La plaine du Corbusier, face au campement du Lutetia.
C’était tôt le matin et les lueurs rosées du petit jour semblaient prometteuses.
Soudainement un mystérieux animal se faufile sous notre Land Rover.
J’arrive tout juste à dégainer mon iPhone 12bio,
faire une image malheureusement trop hâtive, et l’animal disparait !
Mon guide l’avait repéré depuis belle lurette,
mais c’était invisible pour mes yeux européens…..
Très rare découverte dans un arbre à Saint Germain:
Un Harfang des neiges.
Grâce à mon iPhone 12 bio et sa merveilleuse optique
on distingue les petites plumes sur sa tête appelées aigrettes.
Il s’agit d’un mâle car il est d’un blanc pur, alors que les femelles sont légèrement tachetées.
Après avoir tourné sa tête à 270 degrés il a pris son envol silencieux.
J’ai eu encore le sentiment d’avoir établi une connexion bien réelle,
une connivence, entre mon talent indéniable de photographe animalier et mon sujet…
L’image sera présentée à la GDT.
(Gesellschaft Deutscher Tierfotografen)
Le plus beau chat Norvégien (sauvage)
se trouve Rue des Vignoles à Paris 20ème.
Pour y aller je suis passé par Genève, escale à Addis puis Beauvais puis 3 heures de piste en 4X4.
Enfin après 25 heures de route j’ai pu observer ce chat à la queue extrêmement fournie.
L’image n’est pas cropée, plein cadre!
Heureusement il ne m’a pas attaqué car j’étais dans la jeep sur la planche au ras du sol….
Encore une photo prise aux risques et périls de ma vie de Wildlife – photographer.
C’est la saison des naissances.
J’ai spoté tôt ce matin dans la forêt Conran
une famille de “Singes lignum”.
Originaires du sud de la chine,
ils ont dû migrer dans le nord du Vietnam.
Avec la mondialisation on trouve même
quelques spécimens ici.
J’ai demandé à la maman singe le prénom de son fils.
Avec un clin d’œil elle m’a répondu: Donald
Quel humour !
Chutes de neige sur Paris.
Je voulais sortir mon traîneau pour faire des photos du grand tétras et de la gélinotte.
Mais mon chien de traîneau, un Laïka de Yakoutie, s’est mis en grève.
Sa raison ? Il fait – 5 C à Paris.
Au-dessus de – 10 C il exige un supplément de galette des rois.
Nous voilà planté devant la Boulangerie!
Un comportement complètement intolérable !
Sachant qu’en janvier la température moyenne est de -41 C en Yakoutie,
j’imagine déjà mon budget de galettes.
J’aurais trop aimé faire cette image en sépia…
merci d’avoir suivi la suite de safari à paris-part II jusqu’ici.
le début de mon safari à paris vous pouvez le trouver ici:
à très bientôt pour la fin de mes game-drives à paris